Grandir ne va pas de soi
Retour sur cette construction signifiante, l’adolescence, qui prend l’allure d’une bulle temporelle qui ne cesse de gonfler. Mais cela n’a pas toujours été comme ça…
Retour sur cette construction signifiante, l’adolescence, qui prend l’allure d’une bulle temporelle qui ne cesse de gonfler. Mais cela n’a pas toujours été comme ça…
Allez lire ce magnifique texte de Marguerite Duras, trace du cheminement de l’enfant à la jeune fille, de l’horreur à l’erreur !
Le moment critique qu’est la sortie de l’enfance peut être vécu comme un saut dans le vide. Ces champions en font un choix de vie. Peut-être parce qu’ils savent faire avec le vide !
"Une toute jeune fille nue nous regarde. Et dans son regard, dans sa posture, se dévoile ce que peut être le déchirement de ce temps particulier qu'est la puberté".
Le réalisateur des Roseaux sauvages nous donne à voir une nouvelle rencontre entre deux ados dont les enjeux excèdent la théorie du genre. De l’hainamoration à un parcours pulsionnel qui file sur fond d’une nature éblouissante.
Avant, Luc recevait des coups, après c’est lui qui les donne. Entre les deux, la puberté lui fait un sale coup. Dure métamorphose !
L'art sert ici de motif à l'escapade pour attraper ce qui échappe, construire à partir des mots anciens une parure nouvelle.
Lorsqu’elle quitte les rivages de l’enfance, la petite fille freudienne si vive, si précoce se retrouve sur un chemin semé d’embûches…
Et dans l'hémisphère sud, après l'enfance ? Notre reporter nous en offre ici un aperçu à l'occasion du dernier congrès de l'AMP. Le « corps parlant » vient faire résonner la rubrique « métamorphose » pour sa première livraison.