« Le tatouage par exemple, a pris une dimension esthétique qui donne au marquage une forme de glorification du corps, de monstration habilleuse de dessins et d’écrits à lire, ajoutant un plus de jouir […] Le tatouage aujourd’hui n’écrit plus une marque collective mais la singularité propre à chacun ». Bonnaud H,
Le corps pris au mot. Ce qu’il dit, ce qu’il veut, Paris, Navarin / Le Champ freudien, 2015. (p. 18)
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